Nouvelle preuve – si besoin en était – de l’influence de l’internet dans les campagnes électorales, Hillary Clinton a choisi de dévoiler ses ambitions présidentielles par le biais d’un vidéoclip diffusé, il y a deux jours, le 20 janvier sur son nouveau site web.
Quelques jours auparavant, c’est Barack Obama qui avait procédé de la même manière lançant aussi son nouveau site et indiquant qu’il créait un « comité exploratoire« .
Une telle démarche permet à un candidat éventuel de lever les fonds et mettre en place l’organisation de campagne nécessaire pour briguer la Maison-Blanche. Dans son message, le sénateur démocrate expliquait qu’il consacrera les prochaines semaines à une tournée des États-Unis au cours de laquelle il entend se mettre à l’écoute des électeurs. Il précisait ensuite qu’il dévoilerait ses projets le 10 février en Illinois. En d’autres mots, il devrait annoncer ce jour-là de façon officielle sa candidature à la présidence.
Le Parti démocrate compte déjà plusieurs candidats déclarés, dont John Edwards, ancien sénateur et ancien colistier de John Kerry en 2004, Tom Vilsack, ancien gouverneur de l’Iowa, et Joe Biden, sénateur du Delaware.
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Il faut utiliser les outils du moment ou être largué. C’est tellement évident. Regardez le principe du débat dît participatif, qui change du monologue, car toute personne peut s’exprimer. C’est bien le propre d’Internet. La conscience de chaque personne peut s’exprimer, permettant à chacun d’exister socialement. Je poste donc je suis. On me cite, c’est donc que l’on reconnaît la valeur de ma parole et de mon dire:
http://segolene57.blogg.org/
L’influence de l’internet est certaine mais cela reste un média comme un autre.
J’ai un ‘magnifique’ site internet qui n’intéresse que moi et qui n’est visité que par moi et par quelques personnes arrivées sur ce site par hasard et par erreur.
A supposer que je m’appelle Chirac par exemple et que je déclare sur mon site tout nouveau que j’ai ouvert avec mon mulot que je vais me représenter aux élections présidentielles, Même là il faudra attendre un certain temps pour que le site soit découvert
Par contre si je m’appelle Sarko et que j’informe les journalistes que j’ai ouvert un site ou je ne raconte rien. Je pense qu’il y aura pas mal de connexions dès le premier jour
René, si tu es déjà connu, que tu dispose d’un réseau de relations, et d’un carnet d’adresse avec un attaché de presse pour l’exploiter, c’est évidement plus facile.
Ensuite tout dépend du contenu et du moment. Certaines thématiques accrochent à un moment et pas à un autre. C’est en fonction des préoccupations de l’heure que l’on va trouver le fond intéressant ou pas. Et c’est en dernier la quantité d’énergie à remettre sans cesse sur le métier qui permettra à l’information de trouver la cible visée.
Sur mes pages personnelles, je diffuse le concept d’une éolienne spécifique qui fait la moitié du trafic pour l’ensemble de mes pages. J’ai référencé la page sur d’autres sites, je l’ai signalé sur des forum Usenet. Petit à petit l’audience augmente, je reçois des email de personnes me demandant des plans d’exécution, de prof me demandant des photos de détail du prototype, et quand je regarde l’origine des visiteurs, je constate que cela vient de tout autour de la terre.
Les énergies renouvelables sont dans l’air du temps, à cause du réchauffement climatique dû aux utilisations des énergies fossiles, et de l’augmentation de leur coût.
En Bretagne, le vent souffle beaucoup sur la lande. Jean-Jacques Urvoas qui passe sa vie à corriger des copies ne s’en est pas encore rendu compte. Mais il finira bien un jour sortir de son bureau et à en parler.
Il faut lui laisser le temps…
Dès qu’il sera élu député, il abandonnera ses copies pour battre la campagne quimpéroise et humer le vent et les bonnes odeurs de lisier