Il n’y a que les aficionado qui comprendront l’importance de ce post. Depuis peu, le Coca-Cola Zero est arrivé dans les commerces et supermarchés français. C’est le plus gros lancement depuis celui de Coca-Cola light en 1988 !
Une véritable révolution 121 ans après la création, du mythique Coke, grâce à ce bienfaiteur de l’humanité qui s’appelait John S. Pembertton et qui, médecin de son état, à Atlanta, l’inventa pour le vendre comme un remède miracle.
Et bien, à mon goût, nous avons enfin peut-être trouvé ni plus ni moins que sa meilleure copie.
Pour les habitants de la planète Mars, je précise que le Coca Zéro est une version allégée en sucres et calories mais au goût proche du Coca-Cola original, ciblant une population masculine soucieuse de sa ligne. Je suis pile-poil la cible.
Je fais en effet parti de ces grands malades capables, les yeux bandés, et donc simplement au goût, de reconnaître, un coca classique ou un coca light, d’un infâme pepsi qu’il soit Max ou pas (j’écarte évidemment totalement les produits du genre le Coca blak qui tente de mixer le cola avec du café !). En sus, appartenant à la «gauche américaine» chère à Jean Pierre Chevènement, je suis bien au-delà de la moyenne française qui indique que nous n’absorbons que 15 litres de « soft gazeux light» là où un Anglais en consomme chaque année 91 litres…
Alors, si maintenant, je peux me livrer à mon vice sans devoir m’user au fitness… !
Vous pouvez boire en sus les 15 litres que l’on m’attribue. Pour ma part, je vais remplir mes bidon à la source Charlemagne, perdue au fond d’un bois et dont je ne vous donnerai pas l’adresse. Son goût est inimitable, un miracle d’équilibre que la nature me réserve, comprenez que je ne veille pas le partager. Je m’en sers pour me désaltérer, pour faire le café, la cuisine.
Quelques autres personnes font de même, et notre club secret ne tient en aucune manière à se faire connaître ni à recruter. Sorry…
Bon ben je vais aller l’essayer alors moi qui distingue également le coca-light du coca normal et sans parler des produits locaux !!
A quand le salon du Coke et du double wooper original ?
Ma devise est et restera « there is nothing better than Coca ».
Sur le Coca-Cola, je suis – et je le reconnais – un véritable intégriste, mouvance « ultra », en ce sens où je ne tolère même pas le principe que la composition de l’hydromel terrestre puisse être déclinée.
Je range ces dérivés Du Coca-Cola dans la même armoire que les laguioles de supermarché, les Tourtel et les raviolis Panzani (car tout le monde le sait, et là aussi, je suis d’une intransigeance sectaire : Le Ravioli, c’est Buitoni ! (désormais Zapetti, mais toujours estampillé Buitoni)).
Et pourquoi pas des Kickers sans les p’tits trous en-dessous ou des boîtes de vache-qui-rit sans autocollant ?
Vous l’avez compris, je n’aurais jamais tenu plus de quelques heures à la tête du conseil d’administration de Coca-Cola, car j’aurais préféré renoncer à tous les bénéfices du monde plutôt que de voir altérer ce breuvage universel (et j’aurais donc été viré).
Jean-Jacques, je ne sais si ta résolution est due à une surcharge pondérale plus importante que la mienne (là, faut y mettre de la bonne volonté), à une épouse plus rigide sur la courbe de poids de son mari, aux retrouvailles d’une amie d’adolescence ou à une préoccupation plus reserrée de l’image motivée par je ne sais quelle échéance, mais je me permets de t’inciter à revenir aux vraies valeurs quitte à sacrifier à côté à quelques cacahuètes ou à faire quelques séries supplémentaires d’abdos.
Et il se pêche où et quand ce pois(s)on ?
Salut les gars, hier à Concarneau j’ai bu un breiz-cola (c’est peut-être celui-là qui m’a énervé), avec un de mes fils dans une friterie avec une assiette de « kébab » j’ai trouvé cela bon! et je me suis dit que c’était bien de produire cette boisson chez nous. Mais j’espère que je ne vais pas dissoudre mon identité Bretonne en buvant (même si ce n’est pas) du coca -cola! pour me faire pardonner après la messe ce matin j’ai chanté la marseillaise en breton!
Vous ne le direz pas à Ségolène.
au goût, le pepsi, même max reste et restera quand même bien meilleur que le coca, qu’il soit classique, light, ou zero
C’est comme Ségo, elle a la couleur du PS, elle a l’étiquette du PS, mais ce n’est pas le PS…
je comprends pourquoi j’ai croisé jean-jacques dans un restaurant rapide . En fait c’était de la campagne gastronome et moi je n’avais rien remarqué . Dans ce genre d’etablissement mon vice serait plutot ces sandwiches de steaks hachés pleins de sauce au fromage dégoulinant . Et entre nous , de savoir qu’ un pédagogue du pacte présidentiel partage mes adresses m’aide à déculpabiliser …
ça vaudra jamais un coup de cidre….
Mais vous êtes des drogués ma parole! ce truc, j’ai du en boire un peu dans ma jeunesse; c’est à mon avis sans intérêt, j’espère bien que des livres n’y sont pas consacrés. En plus, ça vient faire quoi dans la campagne?
Mon goût (sans abus) va plutôt à ces breuvages décrits par jean-pierre Pichard (celui du festival de Lorient), et là en plus, il y a la variété et la typicité.
Mais comment peut-on perdre autant de temps à nous abreuver ainsi. Vous feriez mieux de préparer les bulles pour le 6 Mai.
Noël,
Nous ne perdons pas de temps, nous suivons la pensée de Ségolène Royal : le retour aux valeurs et aux socles fon-da-men-taux !
Sacré Noël, ce sont les GI’s en 45 qui t’ont fait goûter, petit garçon que tu étais, ce délicieux breuvage capitaliste…
Et hop que ça encourage l’impérialisme américain, le financement de la société Skull & Bones et les actions de Bilderberg..
Et après on ose encore dire que les socialistes sont près du peuple..
Excuse-moi mais si les délégués du Peuple n’ont toujours pas accedé à une prise de conscience…….
Enfin, perso j’encourage l’alternative bretonne Breizh Cola ..hé msieur le socialiste, et l’emploi en bretagne vous y pensez tiens?