Hier bien sûr, matinée de présence sur les différents marchés de Quimper. Début au centre ville, autour des halles et fin aux abords de la galerie de Kermoysan.
Comme toutes les semaines, beaucoup d’adhérents socialistes sont mobilisés : Karim, Géraud, Dominique, Alain, Harmelle, Jeannine, Charly, Charles, Maurice, Olivier, Armelle, Hubert, Martine, Bernard…
J’entends souvent la fierté de la spécificité bretonne, l’envie de ne pas donner tous les pouvoirs à Nicolas Sarkozy et l’incompréhension devant les résultats du 6 mai. Les commentaires sur le talent de mystificateur du candidat de l’UMP sont nombreux « comment a-t-il pu réussir à faire croire à tous qu’il fallait voter comme les privilégiés ? ».
Les encouragements sont légions. « Du courage, vous pouvez compter sur moi » me dit-on souvent ! « Soyez plus durs sur les projets contre la sécurité sociale ! », « N’arrêtez pas de dénoncer la suppression de la carte scolaire » ! « Les Quimpérois ne se laisseront pas faire « ! « On ne va pas le laisser tout casser« , « Dites la supercherie de son histoire d’heures supplémentaires« .
Une élection est évidemmment une aventure collective mais, jamais plus qu’hier, je n’ai senti cette envie de ne pas baisser les bras et de donner à Quimper, un député déterminé à lutter contre les injustices.
La première des injustices, c’est le chômage. Il faut donc créer des entreprises nouvelles vendant des produits innovants sur le marché mondial à partir de l’Europe. Oui, je confirme, la Bretagne fait bien partie de l’Europe.