Fête de la République hier soir dans l’Orangerie de Lanniron. Probablement autour de 200 personnes avaient répondu à l’invitation que Bernard Poignant et moi avions lancée. Un moment œcuménique au service d’une grande idée définie par un mot devenu banal à force d’être utilisé à toutes les sauces.
Dans mon propos, j’ai insisté d’abord sur le fait Le mot n’est pas automatiquement synonyme de démocratie. L’Iran a beau être est une « République Islamique » et la Chine une « République Populaire »… et il est plus agréable de vivre dans la monarchie suédoise…
Ensuite, je suis revenu sur l’actualité de la nation face à la montée des intégrismes et des communautarismes. Certes pas à la nation belliqueuse et frileuse mais à une nation où l’on ne demande pas aux hommes et aux femmes d’où ils viennent mais où ils veulent aller ensemble. Une nation qui serait une « communauté de rêves » pour reprendre le mot de Malraux.
Enfin, j’ai saluer la mémoire des deux quimpérois qui siégeaient à la convention en 1792 quand la monarchie fut abrogé. Tous deux siègèrent sur les bancs des Girondins et tous deux votèrent contre la mort du roi préférant la détention.
Je crois partager avec leur mémoire, le sentiment que la politique se fourvoie quand elle se mure dans l’incantation et refuse la responsabilité….
Dans mon propos, j’ai insisté d’abord sur le fait Le mot n’est pas automatiquement synonyme de démocratie. L’Iran a beau être est une « République Islamique » et la Chine une « République Populaire »… et il est plus agréable de vivre dans la monarchie suédoise…
je suis d’accord avec toi… mais même en Suède on peut chercher le monde idéal dans lequel on souhaite vivre! mais Je pense qu’il est plus facile dans une sociale démocratie qui c’est débarrassé du dogme de la pensée unique comme la valeur central du travail ou de la croissance pour la croissance de proposer d’autres valeurs à transformer en texte législatif!