Le décret de dissolution de la Chambre des députés en Italie a été signé cette semaine et les législatives sont fixées au 13 et 14 avril.
La plus courte des législatures depuis la fin de la seconde guerre mondiale s’est ainsi terminée après 20 mois d’exercice. La consultation va être l’occasion d’une redistribution des cartes notamment à gauche.
En effet, le Parti Démocrate refuse, au nom de la clarification, toute coalition. Nouvelle organisation dans ce pays, formée par la fusion de deux mouvements réformistes, les Démocrates de Gauche et la Marguerite, le parti que dirige le maire de Rome, Walter Veltroni affiche sa volonté de jouer la carte du renouvellement politique en se faisant artisan du bipartisme.
En clair, il souhaite se débarrasser du soutien aléatoire de la kyrielle des petits partis situés à sa gauche [Refondation Communiste, le parti des Communistes Italiens (PdCI), la Gauche Démocratique (SD), les Verts] et participer à la course au centre…
Nul doute que bien des observateurs français vont continuer à regarder l’Italie pour y chercher des repères pour l’avenir dans notre pays.
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Je pense que l’avenir du PS comme force de gournement, nécessitera une alliance avec le centre à condition que celui-ci soit minoritaire dans cette alliance.
Cependant, je me refuse à considérer les votants et les militants à la gauche du PS comme des adversaires.
S’ils étaient majoritairement convaincus par les thèses de Badiou, on saurait à quoi s’en tenir, mais ce sont majoritairement des gens blessés par la situation actuelle et qui nous font payer les erreurs, voir parfois les trahisons, du PS.
Revenir à plus de crédibilité sur nos propositions pour une autre politique, fera changer l’opinion de ces personnes qui se sont éloignées du PS temporairement. La route va être longue !
la situation politique chez nos amis italiens (encore plus avec une 1ere dame de france Italienne, la nationalité n’est pas accordé tout de suite! une 1ere dame immigré…quelle ouverture et espérance!) est tes interréssant. En effet, le conglomérat de l’extrème gauche au centre catholique ne tiens pas! tiens, c’est curieux? vous vous en etonnez? moi pas.cela a durer le temps de la floraison d’une fleur
.la majorité plurielle etait, à ce titre interessant en 1997…nous avons tous vus le résultat en 2002.le pen! a force d ésavouer les valeurs, les choix en mélangant des gens qui ne croivent pas aux mêmes choses et non pas les mêmes solutions, on arrive au même résultat.c’est écrit d’avance.soit la gauche de gouvernement, en france, comme en italie, regarde vers sa gauche, soit vers sa droite.sinon toujours le grand écart qui amène, tôt au tard à la déchirure.besancenot ou bayrou??? les communistes ou les verts? l anti europe ou l europe? la défense des emplois cégétistes chez edf et dans les arsenaux ou l’anti-nucléaire civile et anti-militariste???? faut choisir….le grand écart permet au ps de gagner les élections locales….certes! mais y a vraiement de quoi se poser des questions.attention, quand on se casse une des deux jambes…on va pas loin a cloche pied!