Commentaires sur : Butor http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/ Wed, 25 Apr 2012 20:38:04 +0000 hourly 1 http://wordpress.org/?v=3.2.1 Par : lekien jean marc http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-16816 lekien jean marc Mon, 03 Oct 2011 17:24:47 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-16816 les medias on presenter une des facette de ce ( joyeux drille ) qa la fete de l huma ou il a comme un tribun malmene un militant du parti je suis desole mais si cela c etait passe de cette facon avec moi je lui aurait catapulte une droite dont il se souviendrait encore tout pour dire que il va aller se brosser pour avoir ma voix car mon intention etait qu il ferait parti de mon vote du 1 tour mais je vais aussi militer pour que tout un ensmble de personnes en fasse tout autant car un individu de ce genre ne doit pas figurer dans le parti qui defends justement les plus demunis (( car son salaire actuel laisserait beaucoup de prolos sur le cul )) a bon etendeur salut et fait gaffe de ne pas te trouver sur man chemin de militant les medias on presenter une des facette de ce ( joyeux drille ) qa la fete de l huma ou il a comme un tribun malmene un militant du parti je suis desole mais si cela c etait passe de cette facon avec moi je lui aurait catapulte une droite dont il se souviendrait encore tout pour dire que il va aller se brosser pour avoir ma voix car mon intention etait qu il ferait parti de mon vote du 1 tour mais je vais aussi militer pour que tout un ensmble de personnes en fasse tout autant car un individu de ce genre ne doit pas figurer dans le parti qui defends justement les plus demunis (( car son salaire actuel laisserait beaucoup de prolos sur le cul )) a bon etendeur salut et fait gaffe de ne pas te trouver sur man chemin de militant

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Par : Tanguy Prigent http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-16427 Tanguy Prigent Sat, 09 Jul 2011 09:42:19 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-16427 Il y a 10 ans JLM était fédéraliste. Par opportunisme, il est maintenant nationaliste. Il y a deux ou trois ans, il disait "Qu'est ce qu'on en a à foutre des lithuaniens..." Qu'il s'en aille, lui! Il y a 10 ans JLM était fédéraliste. Par opportunisme, il est maintenant nationaliste. Il y a deux ou trois ans, il disait « Qu’est ce qu’on en a à foutre des lithuaniens… » Qu’il s’en aille, lui!

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Par : Jacques Godin http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-10368 Jacques Godin Fri, 16 Jan 2009 14:34:41 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-10368 Je suis de gauche depuis toujours, breton élevé au lait ribot et au son de la bombarde, du biniou et des festou noz, à la lecture des Grall, Perros, Elléouet et autres . J'ai signé les pétitions pour les prisonniers bretons dans les années 70, fréquenté le "Menez kam", j'ai des amis chanteurs , poètes, écrivains notoires..." bretons"... et je suis moi-même artiste... Mais refute cette dénomination réductrice d'artiste breton qui nous renvoie à une qualification identitaire, régionaliste... Ce débat passionné a au moins le mérite de mettre à jour une histoire refoulée, cachée. Oui Roparz Hemon était un ignoble collabo ainsi que ses amis Mordrel, Drezen, Herrieu, sans parler de Yann Goulet (triste figure de l'Emsav, fondateur des Bagadou Stourm) dont l'UDB ( parti de gauche soi-disant ) a vanté les mérites à sa mort en 1999, et du SS-Untersturmführer Célestin Lainé, commandant le Bezen Perrot qui s'illustra durant sa fuite vers l'Allemagne avec quelques uns de ses amis, à Troyes, par l'exécution sommaire de résistants sortis de leur geôle... vérités historiques irréfutables aujourd'hui. Alors, je vous pose une question simple Mr Urvoas: " en tant qu'élu de la République Française, accepteriez-vous que l'on donne le nom de Louis Ferdinand Céline (incontestable pour ses qualités littéraires) à l'un de nos établissements scolaires comme ce fut le cas pour deux écoles Diwan portant le nom d'Hemon ou d'Herrieu ? Même chose pour la place Polig Montjaret ( un collecteur génial de musique traditionnelle par ailleurs) de Lorient ou les rues Youenn Drezen de Pont-l'Abbé ( ma ville natale)... et j'en passe... la liste est longue. Et qu'on ne nous dise pas " on ne savait pas... " c'est un peu cout de la part de militants bretonnants ou d'élus du peuple. Au nom de "l'identité" bretonne ( une terminologie inadmissible lorsqu'elle relève d'une fonction ministérielle française , mais qui ne choque pas quand elle est institutionnalisée au niveau des instances du Conseil Général du Finistère) arrêtons de tout mélanger !!! et d'encenser tout ce qui est breton sous prétexte que c'est breton. Il y a des gens qui ne sont pas fréquentables !!! La blanche hermine n'est pas si blanche. Peut-on m'expliquer comment, par exemple, l'Institut Culturel de Bretagne peut-il, à la fois décerner le collier de l'hermine à René Vautier et parallèlement à Alain Heusaff, mort en Irlande, ancien membre du Bezen Perrot et fervent défenseur des thèses révisionnistes de Faurisson. Tout ça ne sent vraiment pas bon. Mais pourquoi remuer encore toute cette "merde" me direz-vous? Eh bien, parce que je constate autour de moi un retour inquiétant des communautarismes de tout poil très inquiétant pour la stabilité de nos institutions. Vouloir imposer la langue bretonne à tous les bretons comme l'a suggéré dans un de ses discours l'un de nos élus du Conseil Général, relève tout de même d'un certain sectarisme, il me semble... N'oublions pas que seulement 2% de la population bretonne parle le breton dont 0,2 % de moins de 20 ans ( dixit une enquête statistique de Fanch Broudic ) Quant à l'intégration des écoles Diwan dans le sein de l'Education Nationale, je suis pour... afin d'éviter toutes dérives ( financières, idéologiques... )... ce qui n'est sûrement pas le cas de certains militants bretons. Enfin toujours à propos de la langue bretonne j'aimerais connaître votre point de vue sur la charte émanant de notre vénérable Institut Culturel de Bretagne qui permet aux éditions littéraires de toucher des subsides non négligeables pour la publication d'ouvrages en breton et qu'il soit fortement conseillé de mettre quelques mots de breton pour pouvoir obtenir une aide à l'édition auprès des instances cutlurelles du Conseil Général ( ça ne ressemblerait pas un peu à une sorte de chantage tout ça... nan?) Autre scandale émanant cette fois de l'Office de la Langue Bretonne: l'obligation du bilinguisme pour tout ce qui touche aux éditions d'affiches et de cartons d'invitations institutionnels d'expositions municipales pour les mairies ayant signé la charte, et qui, pour certaines, ont changées de bord depuis les dernières élections mais se retrouvent avec la patate chaude dans les mains. Pour ma part, concerné par ce problème en tant qu'artiste peintre invité pour une exposition par ma commune, nous avons du trouver un biais avec la municipalité pour éviter cette aberration qui relève franchement de la bêtise. Non seulement les imprimés seraient devenus de vraies usines à gaz illisibles mais de plus 99% des personnes recevant le cartons ne parlaient pas le breton. De plus ceux qui le parlaient ( ma mère dont c'est la langue maternelle et qui le pratique encore ) ne comprenaient pas ce qu'on appelle le breton littéraire et qui n'est autre que le breton unifié (ne revenons pas sur ses origines nauséabondes). Voilà, toutes ces réflexions ne m'empêchent pas d'aimer toujours autant ce pays merveilleux qui continue de m'inspirer et que j'exporte dans le monde entier par le biais de mes tableaux ( ma façon à moi d'être un ambassadeur de la Bretagne et de participer à son rayonnement à l'étranger). Ce devoir de mémoire est nécessaire et nous ne devons pas nous voiler la face au risque de nous compromettre avec des idées et des valeurs qui ne sont pas les nôtres. Ne réduisons pas la Bretagne à cette image d'Epinal sclérosante du village d'irréductibles gaulois toujours victime du jacobinisme et d'un mythique colonialisme français, bien dépassé aujourd'hui par cette affirmation identitaire omniprésente dans la culture bretonne et qui pèse un peu trop lourd (comme l'art breton des Seiz breur) dans la balance à mon goût pour devenir parfois caricaturale voire grotesque et " un brin passéiste". Pour avancer dans le XXI ème siècle nous devons nous tourner vers l'avenir mettre à plat tout cet encombrement ethniciste et nationaliste qui ne peut mener qu'à une balkanisation des consciences. La Bretagne ne doit pas rater ce virage essentiel et ses atouts sont immenses... Ne les gâchons pas. Bloavez a re zo vad (en brezonneg unifié mais sincère ) Bien à vous Je suis de gauche depuis toujours, breton élevé au lait ribot et au son de la bombarde, du biniou et des festou noz, à la lecture des Grall, Perros, Elléouet et autres . J’ai signé les pétitions pour les prisonniers bretons dans les années 70, fréquenté le « Menez kam », j’ai des amis chanteurs , poètes, écrivains notoires… » bretons »… et je suis moi-même artiste… Mais refute cette dénomination réductrice d’artiste breton qui nous renvoie à une qualification identitaire, régionaliste…
Ce débat passionné a au moins le mérite de mettre à jour une histoire refoulée, cachée. Oui Roparz Hemon était un ignoble collabo ainsi que ses amis Mordrel, Drezen, Herrieu, sans parler de Yann Goulet (triste figure de l’Emsav, fondateur des Bagadou Stourm) dont l’UDB ( parti de gauche soi-disant ) a vanté les mérites à sa mort en 1999, et du SS-Untersturmführer Célestin Lainé, commandant le Bezen Perrot qui s’illustra durant sa fuite vers l’Allemagne avec quelques uns de ses amis, à Troyes, par l’exécution sommaire de résistants sortis de leur geôle… vérités historiques irréfutables aujourd’hui.
Alors, je vous pose une question simple Mr Urvoas:  » en tant qu’élu de la République Française, accepteriez-vous que l’on donne le nom de Louis Ferdinand Céline (incontestable pour ses qualités littéraires) à l’un de nos établissements scolaires comme ce fut le cas pour deux écoles Diwan portant le nom d’Hemon ou d’Herrieu ? Même chose pour la place Polig Montjaret ( un collecteur génial de musique traditionnelle par ailleurs) de Lorient ou les rues Youenn Drezen de Pont-l’Abbé ( ma ville natale)… et j’en passe… la liste est longue. Et qu’on ne nous dise pas  » on ne savait pas…  » c’est un peu cout de la part de militants bretonnants ou d’élus du peuple.
Au nom de « l’identité » bretonne ( une terminologie inadmissible lorsqu’elle relève d’une fonction ministérielle française , mais qui ne choque pas quand elle est institutionnalisée au niveau des instances du Conseil Général du Finistère) arrêtons de tout mélanger !!! et d’encenser tout ce qui est breton sous prétexte que c’est breton. Il y a des gens qui ne sont pas fréquentables !!! La blanche hermine n’est pas si blanche. Peut-on m’expliquer comment, par exemple, l’Institut Culturel de Bretagne peut-il, à la fois décerner le collier de l’hermine à René Vautier et parallèlement à Alain Heusaff, mort en Irlande, ancien membre du Bezen Perrot et fervent défenseur des thèses révisionnistes de Faurisson. Tout ça ne sent vraiment pas bon.
Mais pourquoi remuer encore toute cette « merde » me direz-vous? Eh bien, parce que je constate autour de moi un retour inquiétant des communautarismes de tout poil très inquiétant pour la stabilité de nos institutions.
Vouloir imposer la langue bretonne à tous les bretons comme l’a suggéré dans un de ses discours l’un de nos élus du Conseil Général, relève tout de même d’un certain sectarisme, il me semble… N’oublions pas que seulement 2% de la population bretonne parle le breton dont 0,2 % de moins de 20 ans ( dixit une enquête statistique de Fanch Broudic ) Quant à l’intégration des écoles Diwan dans le sein de l’Education Nationale, je suis pour… afin d’éviter toutes dérives ( financières, idéologiques… )… ce qui n’est sûrement pas le cas de certains militants bretons.
Enfin toujours à propos de la langue bretonne j’aimerais connaître votre point de vue sur la charte émanant de notre vénérable Institut Culturel de Bretagne qui permet aux éditions littéraires de toucher des subsides non négligeables pour la publication d’ouvrages en breton et qu’il soit fortement conseillé de mettre quelques mots de breton pour pouvoir obtenir une aide à l’édition auprès des instances cutlurelles du Conseil Général ( ça ne ressemblerait pas un peu à une sorte de chantage tout ça… nan?) Autre scandale émanant cette fois de l’Office de la Langue Bretonne: l’obligation du bilinguisme pour tout ce qui touche aux éditions d’affiches et de cartons d’invitations institutionnels d’expositions municipales pour les mairies ayant signé la charte, et qui, pour certaines, ont changées de bord depuis les dernières élections mais se retrouvent avec la patate chaude dans les mains. Pour ma part, concerné par ce problème en tant qu’artiste peintre invité pour une exposition par ma commune, nous avons du trouver un biais avec la municipalité pour éviter cette aberration qui relève franchement de la bêtise. Non seulement les imprimés seraient devenus de vraies usines à gaz illisibles mais de plus 99% des personnes recevant le cartons ne parlaient pas le breton. De plus ceux qui le parlaient ( ma mère dont c’est la langue maternelle et qui le pratique encore ) ne comprenaient pas ce qu’on appelle le breton littéraire et qui n’est autre que le breton unifié (ne revenons pas sur ses origines nauséabondes).
Voilà, toutes ces réflexions ne m’empêchent pas d’aimer toujours autant ce pays merveilleux qui continue de m’inspirer et que j’exporte dans le monde entier par le biais de mes tableaux ( ma façon à moi d’être un ambassadeur de la Bretagne et de participer à son rayonnement à l’étranger). Ce devoir de mémoire est nécessaire et nous ne devons pas nous voiler la face au risque de nous compromettre avec des idées et des valeurs qui ne sont pas les nôtres.
Ne réduisons pas la Bretagne à cette image d’Epinal sclérosante du village d’irréductibles gaulois toujours victime du jacobinisme et d’un mythique colonialisme français, bien dépassé aujourd’hui par cette affirmation identitaire omniprésente dans la culture bretonne et qui pèse un peu trop lourd (comme l’art breton des Seiz breur) dans la balance à mon goût pour devenir parfois caricaturale voire grotesque et  » un brin passéiste ».
Pour avancer dans le XXI ème siècle nous devons nous tourner vers l’avenir mettre à plat tout cet encombrement ethniciste et nationaliste qui ne peut mener qu’à une balkanisation des consciences. La Bretagne ne doit pas rater ce virage essentiel et ses atouts sont immenses… Ne les gâchons pas.

Bloavez a re zo vad (en brezonneg unifié mais sincère )

Bien à vous

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Par : Matthieu http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-9201 Matthieu Tue, 12 Aug 2008 16:09:32 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-9201 Heu, je suis allé comme certains l'ont conseillé sur le site de Mélenchon... J'avais déjà sur ce type une opinion bien arrêtée; qui se confirme; et ce de plus en plus à chaque fois que je l'entend ou le lit. Il me débecte, son site est un tissu de conneries (au mieux) et tout ce qu'il me rappelle c'est que nazi c'est la contraction de national-SOCIALISME, attitude dans laquelle il excelle. Bevet ar brezhoneg, bevet ar galleg hag an holl yezhoù arall. (vive le breton, vive le français et toutes les autres langues) Petite question au PS: vous le virez quand? car tenir les propos qu'il tient doit quand même aller à l'encontre de certains points de votre charte de parti, non? Heu, je suis allé comme certains l’ont conseillé sur le site de Mélenchon…
J’avais déjà sur ce type une opinion bien arrêtée; qui se confirme; et ce de plus en plus à chaque fois que je l’entend ou le lit.
Il me débecte, son site est un tissu de conneries (au mieux) et tout ce qu’il me rappelle c’est que nazi c’est la contraction de national-SOCIALISME, attitude dans laquelle il excelle.
Bevet ar brezhoneg, bevet ar galleg hag an holl yezhoù arall.
(vive le breton, vive le français et toutes les autres langues)

Petite question au PS: vous le virez quand? car tenir les propos qu’il tient doit quand même aller à l’encontre de certains points de votre charte de parti, non?

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Par : kepa http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8725 kepa Wed, 04 Jun 2008 08:51:18 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8725 Vote or not vote? That is the question, en effet. Le projet constitutionnel, apporte une avancée au moins sur les langues minoritaires, tout en ayant de très nombreuses imperfectons et carences. A vrai dire, c'est une réforme typiquement Sarkosienne, c'est à dire peu réfléchie, supperficielle et sans logique d'ensemble. On peut alors reformuler la question : "existe t-il une raison impérative pour refuser de voter le texte aussi imparfait soit -il?" Les institutions fonctionneront -elles moins bien après l'adoption du texte? On peut voter le texte sans l'approuver les yeux fermés et la bouche en coeur. La posture tragique d'Hamlet à de la gueule Vote or not vote? That is the question, en effet.
Le projet constitutionnel, apporte une avancée au moins sur les langues minoritaires, tout en ayant de très nombreuses imperfectons et carences.
A vrai dire, c’est une réforme typiquement Sarkosienne, c’est à dire peu réfléchie, supperficielle et sans logique d’ensemble.
On peut alors reformuler la question : « existe t-il une raison impérative pour refuser de voter le texte aussi imparfait soit -il? »
Les institutions fonctionneront -elles moins bien après l’adoption du texte?

On peut voter le texte sans l’approuver les yeux fermés et la bouche en coeur.
La posture tragique d’Hamlet à de la gueule

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Par : castillo.g http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8724 castillo.g Wed, 04 Jun 2008 04:17:07 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8724 nb: je vais pas être "chien" avec vous! beaucoup d'humour rend la vie bien plus légère....faites vous plaisir, faites plaisir aux bretons, à l'udb(si elle s'est parfois se dérider...), faites plaisir à vos électeurs..et soyez sur la liste des élus bretons qui auront faient reconnaître cette langue dans la bible de la République.bien des choses seront plus simples par la suite, notamment le financement de la langue par l'école de la république! et faites vous soyez pas jacobin(heu!...Mélenchon?) pensez bretagne avant Paris.les électeurs apprécieront! bon choix. au fait sur ce vote, c'est pas comme au ps : pas de oui mais, non mais, ou motion de synthèse de convergences des différentes sensibilités de la famille socialiste et libérale non économique mais politique....oufff(j'ai oublier personne, espérons le) nb: je vais pas être « chien » avec vous! beaucoup d’humour rend la vie bien plus légère….faites vous plaisir, faites plaisir aux bretons, à l’udb(si elle s’est parfois se dérider…), faites plaisir à vos électeurs..et soyez sur la liste des élus bretons qui auront faient reconnaître cette langue dans la bible de la République.bien des choses seront plus simples par la suite, notamment le financement de la langue par l’école de la république! et faites vous soyez pas jacobin(heu!…Mélenchon?) pensez bretagne avant Paris.les électeurs apprécieront! bon choix. au fait sur ce vote, c’est pas comme au ps : pas de oui mais, non mais, ou motion de synthèse de convergences des différentes sensibilités de la famille socialiste et libérale non économique mais politique….oufff(j’ai oublier personne, espérons le)

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Par : castillo.g http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8723 castillo.g Wed, 04 Jun 2008 03:47:55 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8723 ah les langues régionales!!!!!! quel débat....;-) alors Monsieur le deputé maintenant que l'amendement a été voté(c'est une avancée, faut s'en réjouir) allez vous votez la réforme de la Constitution afin que cette amendement sur les langues régionales puissent être appliquer????? .... quelle dilemne! ne pas se déjuger....pas simple en politique, n'est-ce pas?.... faut toujours écouter ce qui viens du château ;-) il y a des patates chaudes qui reviennent toujours dans les jambes! 1! vous êtes pourque soit écris dans la constitution l'existence des langues régionales, vous votez la réforme de la constitution! 2! vous vous déjugez, vous ne la voter pas! mais a quoi bon ce tintamard médiatique et polémiste envers M.mélenchon. les députés socialistes Bretons sont aux pieds du murs....tous les acteurs de la reconnaissance de la culture bretonne dans la constitution vous regardes....ils jugeront aux actes, c'est à dire, à votre vote! ah les langues régionales!!!!!! quel débat….;-) alors Monsieur le deputé maintenant que l’amendement a été voté(c’est une avancée, faut s’en réjouir) allez vous votez la réforme de la Constitution afin que cette amendement sur les langues régionales puissent être appliquer????? …. quelle dilemne! ne pas se déjuger….pas simple en politique, n’est-ce pas?…. faut toujours écouter ce qui viens du château ;-) il y a des patates chaudes qui reviennent toujours dans les jambes!
1! vous êtes pourque soit écris dans la constitution l’existence des langues régionales, vous votez la réforme de la constitution!
2! vous vous déjugez, vous ne la voter pas! mais a quoi bon ce tintamard médiatique et polémiste envers M.mélenchon.

les députés socialistes Bretons sont aux pieds du murs….tous les acteurs de la reconnaissance de la culture bretonne dans la constitution vous regardes….ils jugeront aux actes, c’est à dire, à votre vote!

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Par : Kepa http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8710 Kepa Sun, 01 Jun 2008 20:57:01 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8710 J'adorerais coucher sur un divan M Melanchon, Franck (le bien nommé), et Pascale Le Neouannic, pour essayer de comprendre quels mécanismes psychologiques, quelles terreurs enfantines surgissent de leur inconscient pour offusquer la rationalité dont ils sont apparemment pourvus. Sauf erreur de ma part, il ne s'agit pas d'un affrontement de croyances, ou d'un tribunal de l'inquisition qui statuerait sur le caractère sacrilège du breton, mais d'un simple débat où l'on doit en principe raison garder. Que le breton ait été la langue de l'occupation (c'est historiquement faux), ou que son enseignement puisse menacer à terme le modèle jacobin (c'est douteux), qu'importe en réalité. Le breton est une langue qui porte une culture, ni bonne ni mauvaise, ni riche ni pauvre : elle est. Doit on se résigner à sa disparition ? ou plutôt, au nom de quoi devrait-on souhaiter l'éradication de cette culture? Parce qu'elle s'opposerait à un idéal politique, celui d'une République uniforme et centralisée? Répondre oui à cette question revient à mettre en cause l'essence même de la démocratie, et relève, à vrai dire, d'un fantasme totalitaire. Car une culture est par définition, l'émanation d'un peuple, vouloir la mort de cette culture, c'est nier le peuple qui la porte. Dès lors que, à l'instart de l'inénarrable JCM lui même (semble t-il), on souhaite que la langue et la culture bretonne perdurent, alors, il n'y a pas 50 solutions : il faut l'aider énergiquement, notamment par l'enseignement dans les écoles de la République, et sa mise en oeuvre dans la vie publique. Refuser cela, c'est objectivement participer à la disparition de la langue bretonne. Cette langue et cette culture sont en danger, soit on agit pour les sauver, soit on s'en "lave les mains" et on la condamne à mort. C'est drôle parce que l'image de Pilate ne colle pas précisément avec celle de JCM. Mais une séance sur le divan nous apprendrait peut-être le contraire... J’adorerais coucher sur un divan M Melanchon, Franck (le bien nommé), et Pascale Le Neouannic, pour essayer de comprendre quels mécanismes psychologiques, quelles terreurs enfantines surgissent de leur inconscient pour offusquer la rationalité dont ils sont apparemment pourvus.
Sauf erreur de ma part, il ne s’agit pas d’un affrontement de croyances, ou d’un tribunal de l’inquisition qui statuerait sur le caractère sacrilège du breton, mais d’un simple débat où l’on doit en principe raison garder.
Que le breton ait été la langue de l’occupation (c’est historiquement faux), ou que son enseignement puisse menacer à terme le modèle jacobin (c’est douteux), qu’importe en réalité.
Le breton est une langue qui porte une culture, ni bonne ni mauvaise, ni riche ni pauvre : elle est. Doit on se résigner à sa disparition ? ou plutôt,
au nom de quoi devrait-on souhaiter l’éradication de cette culture?
Parce qu’elle s’opposerait à un idéal politique, celui d’une République uniforme et centralisée?
Répondre oui à cette question revient à mettre en cause l’essence même de la démocratie, et relève, à vrai dire, d’un fantasme totalitaire. Car une culture est par définition, l’émanation d’un peuple, vouloir la mort de cette culture, c’est nier le peuple qui la porte.
Dès lors que, à l’instart de l’inénarrable JCM lui même (semble t-il), on souhaite que la langue et la culture bretonne perdurent, alors, il n’y a pas 50 solutions : il faut l’aider énergiquement, notamment par l’enseignement dans les écoles de la République, et sa mise en oeuvre dans la vie publique. Refuser cela, c’est objectivement participer à la disparition de la langue bretonne.
Cette langue et cette culture sont en danger, soit on agit pour les sauver, soit on s’en « lave les mains » et on la condamne à mort.
C’est drôle parce que l’image de Pilate ne colle pas précisément avec celle de JCM. Mais une séance sur le divan nous apprendrait peut-être le contraire…

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Par : Franck http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8697 Franck Fri, 30 May 2008 13:59:08 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8697 Le modèle socialiste jacobin, issu de l'an I, que vous semblez tant haïr a permis dans un premier temps de renforcer la république en la débarrassant des particularismes régionaux, aujourd'hui tout juste considérés comme des folklores, puis dans un second temps de rendre français des millions d'immigrés. C'est ce modèle que Sarkozy est en train de mettre à genoux et vos revendications cocardières ne font qu'aller dans son sens : après les acquis du CNR, ce sont ceux de la IIIe rep qui vont y passer, pour finir par ceux de 1793 et de 1789. Ainsi, peut-être, avec le temps, vous retrouverez vous dans un fiêre duché, qui fait tant honneur à votre culture. Le modèle socialiste jacobin, issu de l’an I, que vous semblez tant haïr a permis dans un premier temps de renforcer la république en la débarrassant des particularismes régionaux, aujourd’hui tout juste considérés comme des folklores, puis dans un second temps de rendre français des millions d’immigrés. C’est ce modèle que Sarkozy est en train de mettre à genoux et vos revendications cocardières ne font qu’aller dans son sens : après les acquis du CNR, ce sont ceux de la IIIe rep qui vont y passer, pour finir par ceux de 1793 et de 1789. Ainsi, peut-être, avec le temps, vous retrouverez vous dans un fiêre duché, qui fait tant honneur à votre culture.

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Par : Tal http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8694 Tal Fri, 30 May 2008 07:02:29 +0000 http://www.urvoas.org/2008/05/16/butor/#comment-8694 "9.1 La muraille jacobine lézardée Mais l'attitude rigide de la France pourrait prendre fin dans les prochaines années, et la muraille jacobine se lézarder. D’une part, l’opinion publique européenne risque de prendre parti contre la France qui a trop longtemps hésité à adhérer à la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires de 1992; d’autre part, la France aura de moins en moins le choix, surtout depuis que les gouvernements de l'Allemagne, de l'Espagne et du Royaume-Uni, c’est-à-dire tous les grands voisins immédiats (sauf l'Italie) ont signé et ratifié la Charte européenne. La France sera amenée, peut-être malgré elle, à suivre le mouvement et apprendre à ramer dans le même sens que les autres. Plusieurs dirigeants français ont trouvé particulièrement honteux d’entendre ou de lire dans la presse française ces propos de Jordi Pujol, alors qu'il était président du gouvernement (Generalitat) de la Catalogne en Espagne: Il faut trouver un équilibre entre la défense de notre identité et notre ouverture vers l'extérieur. Nous avons d'abord besoin de protéger notre culture. Idéalement, nos enfants devraient savoir parler le catalan, l'espagnol, l'anglais et le français. Il ne s'agit donc pas d'une attitude d'isolement et mes nombreux voyages à l'étranger le prouvent. Mais nous ne voudrons jamais, jamais, que notre culture et notre langue catalane connaissent le même sort qu'en France. En mars 1981, lors de la campagne présidentielle, François Mitterrand avait précisé ainsi sa pensée à l'égard des langues régionales: Le temps est venu d’un statut des langues et cultures de France qui leur reconnaisse une existence réelle. Le temps est venu de leur ouvrir grandes les portes de l’école, de la radio et de la télévision permettant leur diffusion, de leur accorder toute la place qu’elles méritent dans la vie publique. Il lui paraissait important que la France cesse d'être «le dernier pays d’Europe à refuser à ses composantes les droits culturels élémentaires, reconnus dans les conventions internationales qu’elle a elle-même signées». !!!!!!!!!!!!!!! http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/europe/france-3politik_minorites.htm « 9.1 La muraille jacobine lézardée

Mais l’attitude rigide de la France pourrait prendre fin dans les prochaines années, et la muraille jacobine se lézarder. D’une part, l’opinion publique européenne risque de prendre parti contre la France qui a trop longtemps hésité à adhérer à la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires de 1992; d’autre part, la France aura de moins en moins le choix, surtout depuis que les gouvernements de l’Allemagne, de l’Espagne et du Royaume-Uni, c’est-à-dire tous les grands voisins immédiats (sauf l’Italie) ont signé et ratifié la Charte européenne. La France sera amenée, peut-être malgré elle, à suivre le mouvement et apprendre à ramer dans le même sens que les autres. Plusieurs dirigeants français ont trouvé particulièrement honteux d’entendre ou de lire dans la presse française ces propos de Jordi Pujol, alors qu’il était président du gouvernement (Generalitat) de la Catalogne en Espagne:
Il faut trouver un équilibre entre la défense de notre identité et notre ouverture vers l’extérieur. Nous avons d’abord besoin de protéger notre culture. Idéalement, nos enfants devraient savoir parler le catalan, l’espagnol, l’anglais et le français. Il ne s’agit donc pas d’une attitude d’isolement et mes nombreux voyages à l’étranger le prouvent. Mais nous ne voudrons jamais, jamais, que notre culture et notre langue catalane connaissent le même sort qu’en France.

En mars 1981, lors de la campagne présidentielle, François Mitterrand avait précisé ainsi sa pensée à l’égard des langues régionales:

Le temps est venu d’un statut des langues et cultures de France qui leur reconnaisse une existence réelle. Le temps est venu de leur ouvrir grandes les portes de l’école, de la radio et de la télévision permettant leur diffusion, de leur accorder toute la place qu’elles méritent dans la vie publique.

Il lui paraissait important que la France cesse d’être «le dernier pays d’Europe à refuser à ses composantes les droits culturels élémentaires, reconnus dans les conventions internationales qu’elle a elle-même signées». !!!!!!!!!!!!!!!

http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/europe/france-3politik_minorites.htm

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