L’ordre du jour de l’Assemblée a été logiquement bousculé. Le projet de loi de finances rectificative adopté hier en urgence par le conseil des ministres qui prévoit 360 milliards d’euros de soutien aux banques a été inscrit afin d’être soumis à la discussion dès cet après-midi.
Le groupe socialiste en a longuement débattu ce matin et a décidé de s’abstenir. Il n’était évidemment pas possible de s’y opposer. Ces mesures sont à l’évidence nécessaires. Si la réponse n’était pas européenne, elle risquait d’être fragmentée, compartimentée, nationalisée et donc probablement inefficace.
Mais pouvions nous voter pour autant en sa faveur ? Pas plus. D’abord parce que ce n’est pas simplement un plan de sauvetage des banques dont notre pays a besoin mais bien d’un plan de soutien à l’emploi et à la croissance. En d’autres termes, ce qu’il est possible de faire pour sauver le système bancaire, il doit être possible de le faire aussi pour sauver les Français de la récession…
Dès lors, il ne nous restait que l’abstention. Cela peut sembler peu glorieux, c’est cependant la seule voie dont nous disposions. Ce plan ne prévoit aucune garantie, aucune contrepartie. Il masque l’essentiel le fait que cette crise n’est pas un accident violent, c’est l’effondrement d’un système lui-même.
Le Parti n’est-il pas capable de faire une conférence de presse pour expliquer sans outrance ce que tu dis sur ce blog ?
Sa réponse sur le round d’après n’est pas au point ?
Nos chefs, petits et grands, sont-ils bien en phase avec la réalité ?
Certains ne pensent-ils pas que l’étranger nous emmerde et que l’on finira par régler le problème entre nous, comme avant ?
la commune ne peut disparaître.Aussi petite soit-elle! c’est là la véritable identité d’un citoyen.je suis de… je viens de… les gens de… là où le citoyen est né, là où il vie, là où il meurt.
l’intercommunalité est essentielle de nos jours pour des raisons financières d’entraides entres communes de différentes importances.gestion des transports, du développement durables, de l’aide sociale, de l’habitat, de l’école….voilà bien des sujets que cet échelon s’il devenait plus démocratique dans son mode de représentation et de désignation(élection) aurait tout à gagner.
la égion par sa taille à une vue d’ensemble des principaux atouts et handicaps d’un territoire.des attributions lui sont peut-être futile et d’autres lui manques surement.en bretagne, une gestion éfficace des transports, de la culture identitaire, de l’économie agricole et de la pêche, de l’enseignement supèrieure et de la recherche, de l’innovation créative, du développement de nouvelles entreprises ou économies … est un échellon parfait!
le département… voilà bien un échellon auquelle, hormis la question de l’aide sociale, et des transports locaux et sans doute de la gestion des ordures ménagères….je me demande où son avenir le conduit!