Manifestation hier à Quimper des étudiants de l’IUT. Ils s’inquiètent de l’avenir de ces structures, dont l’efficacité est reconnue et qui forment à ce titre l’un des piliers les plus solides de notre enseignement supérieur.
J’ai rencontré il y a quelques jours une délégation d’enseignants, de personnels et d’étudiants. Ce qui a entrainé une question écrite à Valérie Pécresse.
Leurs interrogations sont justifiées. En effet, rien, dans la loi du 10 août 2007 qui a accordé aux universités une autonomie de gestion, ne garantit le financement pérenne des IUT, jusqu’alors assuré par l’État.
Ils sont donc désormais suspendus aux choix et orientations des présidents d’université. Je ne comprends pas pourquoi le fléchage national des moyens financiers et humains n’a pas été maintenu.
De telles règles, compte tenu des possibles disparités de financement d’une université à l’autre, risquent de remettre en cause le volume horaire et l’encadrement de ces formations et donc à moyen terme, le caractère national du diplôme universitaire technologique.
Bonsoir,
Complètement OK sur le contenu de ce post. Une charte a été signée concernant le fléchage, mais elle n’est pas « contraignante ». La demande de décret m’apparaît donc justifiée. Continuons ensemble, ça finira par passer.
Cette question vaut aussi peut-être pour les écoles d’ingénieurs, composantes universitaires. Depuis des années, elles déploient des efforts pour garder un lien fort avec les futurs employeurs de leurs étudiants, pour un suivi étroit des étudiants, pour la définition de cursus guidés par des métiers et non par une concaténation des hobbies des uns et des autres.
Rappel du L713-9 :
« Les instituts et les écoles disposent, pour tenir compte des exigences de leur développement, de l’autonomie financière. Les ministres compétents peuvent leur affecter directement des crédits et des emplois attribués à l’université. »
Bonjour Monsieur le De9pute9J’ai lu Ouest France ce jour et e9coute9 France Inter.. Etre Directeur de la Gendarmerie pour donner de teells directives en matie8re de gestion de la de9linquance..Il y a de quoi s’inquie9ter.J’ai e9te9 commandant de brigade de9partementale de renseignements judiciaires e0 QUIMPER,de 2000 e0 2006, l’unite9 qui assure donc la gestion de9partementale de la de9linquance et donc de la statistique qui s’y rattache. Je n’ai jamais ree7u de directives de la hie9rarchie soit pour tronquer ou pour biaiser les chiffres de la de9linquance Elle e9tait telle que les faits e9taient constate9s par les unite9s du groupement avec un contrf4le re9el et se9rieux de toutes les infractions constate9s sur le plan groupement Je soule8verai cependant un proble8me sur le sujet que vous traitez aujourd’hui. Vous abordez les chiffres compare9s de la de9linquance constate9e. Il aurait peut eatre e9te9 judicieux de faire aussi le comparatif des faits e9lucide9s durant la meame pe9riode et de plus en faits constate9s aborder le proble8me ave9re9 de la de9linquance itine9rante reconnue imputable en majeure partie aux gens des pays de l’Est, faits qui quelquefois ne se re9solvent qu’e0 longue e9che9ance en dehors du flagrant de9lit.De ma solide expe9rience et connaissance de ce que sont les statistiques de la de9linquance et des index rattache9s aux diverses infractions il y a le0 aussi matie8re e0 revoir les crite8res d’index statistiques dans le guide de me9thodologie. Je vous souhaite en tous cas d’obtenir satisfaction dans vos objectifs politiques.