L’émission de La Chaine Parlementaire fait peau neuve sous la responsabilité de sa nouvelle présentatrice, Nathalie Cuman. J’en étais hier l’invité.
- Lettre mensuelle d'information
- Un bilan de la législature
- La proposition de loi relative à la protection de l’identité
- La proposition de loi tendant à faciliter l’organisation des manifestations sportives et culturelles
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JJu la classe avec une jolie femme et un sourire à damner un saint!
Nathalie … Nathalie … La chanson de Bécaud !
C’est bien de ne pas être hors sol.
J’ai regardé le site qui recense pour chaque député son activité parlementaire. Il y a toute de même pas mal de députés qui ne sont pas présents en séances, en commission, …, des députés de droite et de gauche, c’est vraiment un problème. On se demande pourquoi ils se sont pprtés candidats.
Barouin, Cambadelis, …
Dire que l’on a choisi le mandat unique sans être hors sol n’est pas qu’une jolie formule.
Ce qu’il y a de bien quand tu es reçu par une jolie femme, c’est qu’on te voit sourire.
Vous avez soulevé un point intéressant : beaucoup de personnes sont emprisonnées pour des forfaits mineurs qui relèvent de peines correctionnelles et effectuent de courtes peines.
Un grand pas serait franchi si la prison n’était plus considérée comme LA solution unique. Pourquoi ne pas développer et étendre pour ces infractions mineures, par exemple, le port du bracelet électronique ?
Il serait bon d’améliorer l’état des établissements qui sont dans un état plus que déplorable, la prison n’est pas un hôtel 4 étoiles certes, il y a tout de même une limite à la décence et au respect de la dignité humaine. Travailler également sur l’après, la réinsertion, donner à ces détenus la chance de préparer un retour à la « vie normale ». Une bonne réinsertion évite les (mal)chances de récidive.
Mais à mon avis, le plus « judicieux », ce qui ferait – peut-être – prendre conscience au public que la prison n’est pas un lieu quelconque, serait de le dissuader d’y entrer. « Ouvrir » les maisons d’arrêt. Oui, je sais cela semble paradoxal mais comme vous et moi, ceux qui visiteront (à condition qu’on veuille bien montrer un minimum du quotidien d’un détenu), en ressortiront forcément profondément différents avec à la clé, il faut l’espérer, le désir de ne jamais connaître ça.
MHJ, pensez vous que Monsieur Urvoas aurait eu le sourire crispé si Arlette Chabot avait été en lieu et place de Nathalie Curman ? (Sourire).
C’est ce qu’on appelle mettre les mains dans le cambouis, je trouve que la démarche ne manque pas de courage et c’est bienvenu d’en décrire le processus. Le manque de contact avec le réel, c’est justement un des reproches faits aux hommes politiques. On saisit immédiatement l’implication et l’investissement que vous y avez mis afin d’avoir une juste approche des problèmes liés à la détention, je trouve cela excellent