Le magazine Capital de ce mois d’avril traite d’un sujet qui ne me laisse pas indifférent « DSK fait-il du bon boulot au FMI ? »
Une partie de la réponse était déjà dans un éditorial du journal « la Tribune » du journaliste économique Erik Izraelewicz intitulé « DSK, la « rupture » au FMI ». Vous pouvez cliquer ici pour la lire entièrement car sur le site du quotidien, elle n’est accessible que sur abonnement.
En substance, on y apprend que « Quand le professeur d’économie s’était installé, le 1er novembre 2007, à Washington, le FMI était une institution moribonde, sans moyen et en panne de légitimité. La crise aidant, pierre à pierre, DSK a reconstruit un nouveau FMI ».
La démonstration se poursuit dans Capital puisque DSK obtient une note de 16/20 au critère « amélioration de l’image du Fonds en Amérique Latine ». Quand on veut bien se rappeler combien le FMI était « considéré comme le grand Satan dans les pays émergents traumatisés par ses cures d’austérité ravageuse », on mesure le travail accompli ! L’article se conclut d’ailleurs par une appréciation flatteuse « reçu partout comme un chef d’Etat, DSK affiche un bilan plutôt convaincant ».
Dans cette revue de presse, je ne mentionne le numéro de la semaine dernière du Point que pour vous indiquer qu’il a été vendu « en kiosque » comme on dit, à 85 000 exemplaires contre 71 000 d’habitude… Le sujet intéresse.
Pour que pas un support de gauche n’ait pas pris le risque de suivre, au jour le jour, les travaux de DSK au FMI, quitte à les critiquer, montre à quel point notre vision du monde est en repli, pour ne pas dire archaïque.
Notre approche un peu en retrait de la terrible crise grecque en est une autre illustration.
Merci à toi, de manquer de conformisme.
La seule question qui vaille, M. Urvoas, c’est de savoir si DSK a compris la crise économique, financière et sociale. (On oubli toujours de rappeler l’aspect social : étrange non ?)
Qu’il soit un bon diplomate, çà personne n’en doutait. Qu’il sache défendre l’institution qu’il dirige, face à 27 types incapables de s’entendre, deux superpuissances qui se battent comme des chiffonniers pour être à la une de « news week » et quelques autres qui écoutent, c’est certain. Mais avoir les qualités d’un Talleyrand – qui avait beau être un traitre politique, n’a jamais trahi la France – suffit il à couvrir DSK de louanges pour le travail qu’il réalise au FMI (lorsqu’il ne courre pas le guilledou) ?
Et bien…Force est de constater que non. Il manque une « vision » à DSK…Et c’est bien dommage. De toute évidence, la crise que nous subissons – nous n’en sommes pas sorti contrairement à ce qu’affirme le Gouvernement (quand une agence de notation américaine menace d’enlever son AAA à la France, il ne faut pas crier victoire) – n’a pas encore été comprise par le directeur du FMI.
Il ne faut, en effet, pas chercher bien loin d’où vient ladite crise : l’option d’un libre-échange effrené oblige les salaires européens (et ceux des pays développés) à s’aligner progressivement sur ceux de la Chine – même phénomène pour les conditions de travail et (l’absence) de protection sociale.
DSK qui connait bien l’économie – en principe – aurait donc dû défendre une régulation des changes ce qui aurait permis de contrecarrer une bonne part de ces dérives (avec la taxe de libre-échange proposée sur ce blog, nous taxerions aujourd’hui aux frontières françaises les importations en provenance d’Allemagne, de Chine et des Etats-Unis, quoique pour la Chine et les Etats-Unis les taxes auraient été réduites automatiquement depuis la baisse de l’euro).
Or…Que fait DSK ? Il clame, tenez vous bien, le retour du keynésianisme et réclament l’application plus stricte du pacte de stabilité ! Personne ne lui a appris qu’on ne peut demander le beurre et l’argent du beurre ?
Mieux. Il prend les citoyens pour des idiots, comme en témoigne une de ses conférences en Pologne.
« Nous avons besoin d’avoir des carottes et des gros bâtons. J’ai bien peur que jusqu’à présent nous n’ayons trouvé que les carottes… mais pas les bâtons. » (cf. article du Point, et texte intégral de la conférence en anglais).
Les sanctions sont tellement dissuasives que le pacte de stabilité est régulièrement violé par la France ! Et les augmenter ne changera rien à l’affaire. L’argent public le Gouvernement le dépense n’importe comment. Alors verser 0,000001% du PIB de la France…Et si par ex la sanction montait à 10% du PIB, que croyez vous que fera le Gouvernement ? Sinon dénoncer « Bruxelles » ?
Ces sanctions sont d’autant plus inefficaces que certains Etats trichent avec leur bilan. La France comme la plupart de ses collègues européens, ne fait d’ailleurs pas exception. On sait ainsi que la Grèce a eu recours aux services de « banques amies » et que le Portugal, l’Espagne, sont concernées. On sait aussi que les collectivités territoriales dansent, elles aussi, sur un volcan (cf les articles du Monde sur le sujet)
La situation restera la même : le contribuable payera l’incompétence et le je m’en foutisme des Gouvernements en place. Et le libéralisme effréné, mauvais même, continuera. Générant crises sur crises. Que fait DSK pour lutter contre çà ? Absolument rien.
Tout au contraire. Il suit le troupeau d’économistes, intellectuels, artistes, etc. Qui ne veulent pas renoncer à leur veau d’or. Peu importe que la France meurt, pourvu que les dividendes tombent. Qu’importe que la Société sombre dans la famine, la misère, et le désespoir. A t elle le moindre intérêt pour les investisseurs ? Et surtout ceux que les « vrais gens » appellent les « accaparateurs » ?
« le temps est venu de porter le projet européen à l’étape suivante ».
Pour DSK, le projet européen a en effet prouvé sa validité dans la crise !
C’est certain ! La Commission prévoyait dans un dossier intitulé « protection sociale » de généraliser la retraite par capitalisation ! M. SARKOZY prévoyait de se rallier à une autre de ses « bonnes » idées : la possibilité de sur primes à l’américaine ! Si la France a « mieux résisté » que ses partenaires, ce n’est pas dû à la « validité du projet européen » mais bien parce que pendant x années, les Français ont dévalé les rues et avenues de la Capitale et des provinces en s’opposant aux « réformes » assurément formidables pour les citoyens !
Le projet européen est si « valide » que la zone euro a la plus faible croissance de toute la planète ! Mais allons y en coeur ! Tiens, pourquoi ne pas mettre en oeuvre la « stratégie de Lisbonne » version 2004, qui est concrètement le projet gouvernemental mis en oeuvre depuis 2007 ? Le PS tâcle SARKOZY, dénonce sa politique. Mais la « politique » de SARKOZY…C’est la mise en oeuvre de ladite « stratégie » ! Laquelle est formidable comme chacun voit ! Elle a très bien rempli son objectif d’être la zone la plus « compétitive au monde » ! Depuis 2000, les citoyens ont perdu une sacrée part de leur « pouvoir d’achat » ! Les salaires sont en baisse partout ! Nous ne sommes pas encore au « salaire chinois » mais c’est pour bientôt ! Promesse de la Commission européenne (dont le salaire de ses membres, en revanche, lui, a particulièrement augmenté : BARROSO est payé autant que OBAMA ! La différence ? OBAMA est compétent, il prend des risques, il est responsable de ses actes ! Et il est en situation de prendre des décisions concernant des milliers d’américain à commencer par la bombe nucléaire. BARROSO est le larbin de service du club très sélect du lobby RTE)
Mieux, DSK qui semble avoir un grand respect de l’opinion des Français, considèrent qu’il faut construire un véritable « Etat européen » ! DSK ignorerait il donc que les Français aiment la France et ont voté contre son anéantissement en 2005 ? A quoi bon vouloir être un éventuel candidat en 2012 quand on explique à Bruxelles qu’on est d’accord pour voter un nouveau traité de Troyes ? En 1420, aussi, Henri V d’Angleterre expliquait en quoi la « double monarchie » serait formidable. Au programme : paix, prospérité, justice. En vérité : guerre interminable, famine, misère, chômage (et à l’époque pas de sécurité sociale) et payement par le contribuable des troupes d’occupation. Prévoit on d’épouser quand on sait d’avance comment on compte éliminer sa promise ?
En dehors du fait que DSK, manifestement, n’aime pas suffisamment la France pour vouloir convoler avec elle…On ne peut que regretter son aveuglement incompréhensible.
DSK ne voit de salut que dans des politiques structurelles – qui consistent à rogner les uns après les autres les avantages éhontés des salopards de salariés, bien trop payés par rapport aux chinois qui ont été si bien élevés, eux.
DSK n’est pas un imbécile, c’est un homme politique. Pourquoi défend-t-il des politiques économiques qui n’ont aucun sens ?
J’ai bien quelques idées. Il suffit d’ailleurs d’écouter jusqu’au bout les propos de DSK.
Celui ci invite les Etats européens à prendre des mesures pour être dans les clous budgétaires à partir de…2011. Le choix de cette date n’étonnera personne. Elle n’a aucune signification économique. Politique, si. En forçant SARKO à prendre des mesures « impopulaires » l’année de la « reconquête » de l’électorat populaire…DSK est sur de pouvoir assurer à son parti une petite chance. Et donc à lui même, en cas de validation de sa candidature, une petite promenade de santé en 2012.
Ce souci du parti est sans doute formidable. Mais pourquoi faut il toujours que le « bon peuple » trinque ? Pour arriver au même résultat, DSK n’aurait qu’à proner la fin des avantages iniques de certaines personnalités politiques, économiques, et financières. Mais bon, je suppose que tondre le contribuable est plus facile que de retrouver les bonnes grâces des riches…
La « validation du projet européen » – que la réalité contredit – reconnue par DSK est probablement un « rendu d’ascenseur » à l’égard des USA qui ont soutenu sa candidature au FMI. L’UE est un projet américain à l’origine. Et on le sait, les Américains aiment l’ordre. Il faut de la discipline dans l’UE pour fournir des troupes pour faire les guerres des USA. OBAMA ne veut pas risquer – même s’il a un vassal à l’Elysée – qu’un crétin de chef d’Etat européen se dresse comme Chirac en 2003, et mette en péril la « légitimité » des guerres pour le pétrole, couverte par un motif « démocratique ».
Le « meilleur économiste de France » devrait peut être chercher à comprendre pourquoi la zone euro – qu’il loue – est la moins prospère du monde !
Personnellement, quand je place mon argent quelque part, c’est pour qu’il me rapporte, non pour perdre cet argent. Comment se fait il que DSK ne cesse de promouvoir un placement idiot ?
Le projet européen – comme tout projet d’alleurs – ne peut pas fonctionner si ceux qui doivent le mettre en oeuvre sont tous animés par le désir profond de l’anéantir.
Récemment, un illustre inconnu, que les médias ont pourtant appelé pendant 24 h le « Président de l’Europe » a fait une conférence des plus intéressantes :
« Le FMI prédit [comme taux de croissance] : pour la Chine, 10% ; pour l’Inde, 7,7% ; pour les Etats-Unis, 2,7% ; pour l’Union européenne 1%. Ces chiffres doivent être nuancés bien sûr. Une croissance économique trop rapide pourrait causer des tensions monétaires, sociales ou politiques qui limiterait sa durabilité ».
Voilà que M. Van Rompuy trace un chemin qu’il a toute chance de parcourir avec succès : une durable absence de croissance !
C’est çà qu’il faut « renforcer » selon DSK ! Je ne suis pas sur que « croissance zéro, déficit 100%, et tout pour les plus riches » soit le programme révé par les Français en 2012…
Intéressant Seb, mais sans doute faut-il apprendre à faire plus concis…
Je trouve que tu mélanges beaucoup de choses très diverses, avace des conclusions dont la logique m’échappe.
Pourquoi ne pas avoir évoqué tous les éléments du bilan de DSK à la tête du FMI, par exemple son rôle dans l’apurement de la dette du Libéria ? Pourquoi ne pas avoir reconnu – mais sans doute que cela ne convenait pas à la démonstration à charge que tu menais – que DSK avait profondément l’institution dont il a la charge alors que cela saute aux yeux ? Trouves-tu dérisoire par exemple la proposition du FMI de créer un « Fonds vert » de 100 milliards de dollars par an d’ici à 2020, destiné à aider les pays pauvres à se doter de technologies vertes.
Je respecte ton point de vue, mais je trouve ta démonstration peu convaincante car caricaturale. Comment peux-tu écrire : « Le “meilleur économiste de France” devrait peut être chercher à comprendre pourquoi la zone euro – qu’il loue – est la moins prospère du monde ! » ?
Te souviens-tu seulement de son bilan à Bercy entre 1997 et 2000 ? De mémoire, en 2000 le taux de croissance de la France était de 4,1% et le déficit de 1%… Mauvais économiste DSK ?
Et pour ce qui est de son engagement européen, je crois qu’il fut l’un de ceux qui a toujours défendu avec le plus de constance la construction et l’intégration européenne. Quant à son défaut supposé de vision à long terme, je crois au contraire que c’est l’un des seuls à en avoir une ! C’est d’ailleurs à cela qu’il doit d’être respecté de nombreux chefs d’Etat; on sait sa fiabilité et sa « constance » en faveur de l’Europe.
Réaction de JJU
Etonnant ce commentaire qui a cherché à usurper mon identité ! Je ne crois pas qu’il soit utile pour intervenir sur ce blog de procéder ainsi. Je le maintiens néanmoins car il permet le débat.
@seb dit :11 avril 2010 at 23:01
Pourquoi un tel acharnement vis à vis de DSK ?
Je glisse sur la petite connerie privée, tu laisses ça aux autres.
Par le passé, Dieu sait si nous avons trouvé des horreurs à dire sur le FMI, critiques unanimes et sans relachement.
Ce que DSK a changé, ses initiatives positives ne te vont pas ?
On a parfois le sentiment que les institutions internationales tiennent immuablement de la mythologie grecque, avec des bons et des méchants dieux pour que les hommes en rient ou en pleurent comme des cons.
Moi qui suis toujours très pessimiste, je crois que nous sommes entrés dans un petit peu de démocratie mondiale avec l’arrivée de DSK au FMI.
Ce n’est pas de l’acharnement. C’est seulement un constat. Cela m’accable de voir M. DSK suivre les directives du groupe BILDERBERG et autres systèmes du même genre, alors que la réalité démontre qu’on fonce droit dans le mur.
J’ai, si je puis dire, misé gros sur DSK, et je constate que ce dernier oubli de réfléchir dès lors que l’intérêt des mecs de la finance est en cause !
Je prends un ex : chacun sait – pour la simple raison que les pays européens ont des contribuables – que les pays européens ne peuvent pas arriver à la banqueroute.
Cela n’empêche pas une certaine agence de notation américaine de dégrader la note de la Grèce, d’envisager de le faire pour la France, l’Angleterre et consorts.
Un petit jeu qui conduit donc les dirigeants Grecs et consorts à allumer les citoyens d’Europe, car s’endetter devient plus cher.
Or…Quelle est la réaction de DSK ou de TRICHET et notre « représentant » à l’OMC ?
Les trois exigent que l’on satisfasse l’agence de notation ! Alors que le risque que la Grèce – ou tout autre – tombe est de ZERO. Pour une raison très simple : un Etat a des pourvoyeurs réguliers (entreprises, contribuables, « riches », étrangers, etc.) quand une entreprise, une association, un ménage, ne peuvent eux compter que sur eux mêmes.
Est il normal qu’on étrangle d’impôts les citoyens et qu’on réduise les dépenses sociales d’un pays…Simplement parce qu’une agence de notation spécule sur un risque zéro ? Doublement zéro, puisque d’une part la zone euro partage une monnaie et que les citoyens d’Europe, bien qu’ayant un pouvoir d’achat dégradé, reste quand même « privilégiés » en certaines occasions.
Que la Grèce et consorts fassent des efforts, en terme budgétaire, rien de plus normal. Surtout s’il y a une exigence commune et réciproque qui les unie via un traité. Ce qui est le cas de l’UE.
Mais que cet effort demandé soit le fait d’un jeu pervers venue d’une agence de notation qui, hier encore, nous affirmait que le système financier était solide, çà ce n’est pas normal !
C’est çà que je reproche à DSK. Qu’un investisseur « punisse » via des taux plus haut une entreprise, un Etat, un ménage, etc. Pour des raisons légitimes…C’est compréhensible.
Mais quand il n’y a aucun risque, alors on n’a plus d’investisseurs mais des accaparateurs.
C’est d’autant plus salopard que l’agence de notation, pour des raisons inqualifiables – et tous les dirigeants qui ne prosternent devant elles : çà c’est navrant ! – met en danger la zone euro et l’UE elle même avec ses conneries ! Parce que je vois mal comment le régime sans sel imposé aux Grecs et consorts pourraient avoir de meilleurs résultats que les purges décrétées en son temps par le FMI auprès d’Etats, qui tout au contraire, avaient besoin d’investir dans l’avenir.
DSK aurait pu demander plusieurs choses…Mais bien sur cela n’aurait pas avantager les financiers. Et peut être aussi que les 27, sous couvert de la méchante agence de notation, trouvent ils avantage à spolier encore plus les citoyens de leur richesse…Sans raison aucune.
-Suppression de l’article 123 du traité de Lisbonne (de toute façon, le traité doit être révisé pour modifier le nombre d’europarlementaires)
-interdiction de spéculer sur les dettes publiques (proposition de M. BARROSO) ou interdiction pour les banques privées de financer les dettes publiques. Seule les banques publiques (de France et BCE) peuvent le faire (proposition de M. KRUGMAN)
-Loi nationale (allez le PS ! Allez !) interdisant aux banques et agences de notation de spéculer sur la dette publique. Ou si trop large, de le faire de manière illégitime. Quand le risque est égal à zéro – ce qui est le cas de la France par ex : notamment parce que si l’Etat est endetté les Français sont des très grands épargnants. Sans parler de la valeur de la France elle même – il n’est pas normal qu’une agence de notation baisse la note de l’Etat concerné ou/et que les banques prêtent plus chères.
Et comme dit précédemment, à quand une régulation – réelle – non pas des stocks options et autres choses, qui sont accessoires dans l’affaire (je ne dis pas qu’il ne faut pas s’en préoccuper mais réduire la crise à çà, c’est prendre les citoyens pour des idiots) du système financier : interdiction pour les banques privées de financer les Etats et les collectivités territoriales (payés les erreurs de DEXIA çà va une fois, pas deux) ; encadrement – réel – des paradis fiscaux (on en est loin : G20 tartuffe); interdiction des « produits dérivés financiers » (style LBO), etc.
Ce qui est pénible, c’est qu’on voit l’orage arrivé, et DSK semble se dire « tiens, de la pluie » ! Ce n’est pas normal.
Pour le reste, c’est exact, M. DSK est un bon diplomate et un homme politique qui n’a pas l’intention de jouer à la potiche. C’est bien. Mais je regrette qu’il ne cherche pas à faire plus (il en a les moyens : financiers, médiatiques, etc.)
Quand à la petite « connerie » du départ, désolé mais pour moi c’est important. On a déjà « SARKOZY » dans « GOSSIP GIRL » (saviez vous que SARKOZY était l’amant de la belle Lilly ? Je m’étonne qu’il n’ait pas encore porté plainte contre ceux qui ont propagé cette nouvelle « rumeur »…) et les « simpson » (et pas à son avantage) il serait dommage que M. DSK continu à salir son épouse avec ses frasques et la France avec ses aventures. Soit il divorce. Soit il fait des efforts pour être digne du pays qu’il représente, qu’il le veuille ou non.
Un peu de tenue ! Le roi de France ne peut se conduire comme le duc d’Orléans. Le président du FMI ne peut pas non plus imiter CLINTON. Même avec une pro. (Et non une stagiaire)
http://www.dailymotion.com/video/x78a16_quand-gossip-girl-se-moque-de-sarko_news
http://www.dailymotion.com/video/x81qoa_gossip-girl-vanne-sarkozy_news
« Etonnant ce commentaire qui a cherché à usurper mon identité ! Je ne crois pas qu’il soit utile pour intervenir sur ce blog de procéder ainsi. Je le maintiens néanmoins car il permet le débat. »
En effet. Merci pour votre respect de la liberté d’expression…Même anonyme !