C’est aujourd’hui la journée nationale de du souvenir des victimes et des héros de la déportation. J’ai donc participé ce matin sur les allées de Locmaria à la cérémonie patriotique.
Au moment des allocutions à la mairie, j’ai découvert dans le hall une formidable exposition sur les 54 policiers et gendarmes qui ont été reconnu par le mémorial de Yad Vachem « Justes parmi les nations ».
Ils ont, fréquemment, mis leur vie en péril pour aider les Juifs, notamment des camps de Drancy, à fuir la concentration vichyste et l’extermination nazie. Nombre d’entre eux ont été torturés par la Gestapo et la milice française au service de l’occupant, des centaines fusillés ou déportés.
En ayant eu le courage de suivre leur conscience plutôt que les ordres de leur hiérarchie, leur souvenir nous rappelle que l’Histoire est constituée d’une longue chaîne de responsabilités, individuelles et collectives, et que chacun de nous en est un maillon précieux qui fait que l’Histoire chavire ou au contraire avance.
« Désobéir pour sauver » aurait pu être la devise de ces derniers « gardiens de la Paix » authentiques jusqu’au sacrifice, aujourd’hui au fronton de l’éthique de leurs institutions respectives.
J’ai fait un cauchemar où l’on ramassait les arabes.
63 % des français trouvaient ça bien.
Les autres étaient en réunion.
Je ne me suis pas reveillé, c’était la réalité.
Jaurés :Le courage est d’allé cherché la vérité et de la dire !
Charonne pendant la guerre d’algérie, Dransis au cours de l’occupation sont des taches, parmi beaucoup d’autres, sur corps de la gendarmerie. Malgré cela, elle est considéré comme armes d’élite . Par la flagornerie ,tu participe à cette hypocrisie qui ne permet pas une remise en cause de notre police qui dans un état de droit, ne peut être laisser a l’armée . Les syndicats sont de puissants garant morale chez les policiers, leurs absence dans la gendarmerie explique les débordement du corps .