Ce matin c’était à Plomelin que je participais à une inauguration. Il s’agissait cette fois-ci d’une extension des locaux de l’école élémentaire et du restaurant scolaire.
Deux salles de classes pour une surface de 160 m², de nouveaux sanitaires, une seconde classe de restauration avec 80 places avec halls d’accueil, l’ensemble a belle allure.
Comme élu, la participation à une telle manifestation est toujours un privilège. Construire une école ou l’agrandir est le plus témoin de la vitalité d’une commune en même temps qu’un acte de confiance dans son avenir.
C’est aussi un privilège car l’élaboration des dossiers prend du temps. C’est d’ailleurs Marcelle Ramonet qui avait eu à connaître les prémisses du projet. Heureusement, dans ce domaine, les visions partisanes n’ont pas de sens et tous les élus savent s’unir pour permettre que le projet aboutisse dans les meilleures conditions.
Il n’existe en effet pas de plus belle mission que celle de participer à cette grande œuvre collective de transmission des savoirs et des valeurs qu’est l’éducation. Aussi l’école doit-elle toujours rester une priorité.
NB : merci à Catherine Faro pour le cliché !
Réflexion sur le socialisme.
Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer mais par contre, une année, c’est la classe entière qui a connu l’échec.
Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme est une idéologie qui fonctionne et que personne n’y est ni pauvre ni riche, un système égalitaire parfait.
Le professeur dit alors: »OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera avec de très bonnes notes.
Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très
heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui eux étaient ravis.
A l’approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins réviser.
La moyenne de ce contrôle fut de 9/20! Personne n’était satisfait. Quand arriva le 3ème contrôle, la moyenne tomba à 5/20.
Les notes ne remontèrent jamais alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre.
A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final.
Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important tandis que si on confisque les récompenses, plus personne ne
cherche ni n’essaie de réussir.
Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses
Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a du travailler pour le produire sans en tirer profit. Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres. Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. On n’accroît pas les biens en les divisant. » Dr. Adrian Rogers, 1931
Réaction de JJU
J’avoue ne pas avoir perçu le lien avec le sujet. Mais si écrire cela vous a fait plaisir alors…
réponse à « vive le marché »
système malheureusement exactement équivalent au notre actuellement, où ceux qui ne font à peu près « rien », les financiers, qui pourtant dominent ce système, découragent tous ceux qui travaillent, en emportant » à peu près tout » (et par dessus le marché empêchent ces mêmes de travailler en provoquant des licenciements de convenance boursière).
Merci, un grand merci à « vive le marché » de recracher un discours inventé sur mesure par celles et ceux qui n’y croient même pas mais qui trouvent des pauvres âmes pour le répéter.
En effet, s’il conforte quelques uns, il nous démontre à moi et tellement d’autres la méconnaissance qui est la vôtre en matière de vie quotidienne de nos concitoyens. Entre ceux qui travaillent, et qui donc forcément vont bien et les autres, les laxistes qui n’ont que ce qu’ils méritent… ha ha..bien fait… Le bien, le mal…Amen…
Deux options pour vous, soit vous sortez le dimanche matin (mais pas pour aller à la messe…), soit vous maintenez votre discours, mais quand même c’est trop facile pour nous, pensez-y au lieu de se laisser aller à ce point à cette « paresse intellectuelle »…Attention, la paresse, c’est mal !! l’enfer vous guette, pire le pôle emploi…beurk…