Ce matin, jétais l’invité de la matinale 7h/9h de France Inter qu’animait Michaël Thébault.
Confronté à un Eric Ciotti, député UMP des Alpes-Maritimes et secrétaire national de ce parti en charge de la sécurité, très bavard, j’ai tenté de développer la vision équilibrée du PS.
Pour écouter, il faut aller sur la page dédiée de France Inter et commencer par cliquer sur » (Re)ecouter – l’invité d’Inter ». Cette première partie dure dix minutes.
Ensuite, car l’émission s’est déroulée en deux temps, il faut cliquer sur « Inter-active » où nous répondons aux questions des auditeurs. Cela dure une vingtaine de minutes.
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Bonjour Jean-Jacques,
Le sujet m’intéresse et je pense que le PS a des cartes à jouer dans l’affaire. Alors autant faire en sorte d’en avoir plusieurs.
J’ai écrit un texte, certainement incomplet et pas assez développé. Mais il a le mérite d’exister. Il est à cette adresse : http://abadinte.canalblog.com/archives/2010/08/09/18768201.html
J’espère qu’il permettra d’aider à la réflexion.
Tu l’as dévoré tout cru le p’tit sergent qui suivrait son général aveuglément…Même si c’était pas bien dur, c’était joliment fait…Ca fait du bien d’entendre la république s’exprimer le matin.
Tu as parfaitement souligné l’augmentation continue des faits de violences les plus graves, ceux à la personne, que la politique sarkozyste, non seulement ne résout pas, mais dont elle contribue à la croissance en ayant instauré depuis presque une décennie maintenant une société qui repose sur la loi du plus fort, la confrontation permanente et le déclassement de l’autre.
Ce fonctionnement induit une confusion inévitable entre par exemple des parents en souffrance et des parents démissionnaires. Il est tellement pus facile de déclasser les autres pour faire croire aux autres que, eux sont des bons citoyens…
Dans une société anxiogène et schizophrène, les sondages (aux questions orientées) ont une valeur essentiellement éphémères et ne peuvent fonder une orientation politique, sans quoi, c’est le populisme et non le courage de l’action qui guide un pays.
Au-delà de leur anti-constitutionnalité, les déclarations sur la déchéance de nationalité, ou la substitution des peines d’emprisonnement abîment les valeurs fondatrices de notre république, et qui dans ses relans de stigmatisation rappellent des époques où le populisme à tout crin autorisait non moins autre chose que le racisme d’état.
A quand une fin de soirée dans les locaux de radio classiques a évoquer quelques idées autour de morceaux rares ?