Le préfet de la région Bretagne vient de publier un communiqué pour nous rassurer sur les intentions de l’Etat en matière ferroviaire.
Il n’y aurait donc pas lieu de s’inquiéter, l’objectif de relier Brest et Quimper à Paris en 3 heures constitue toujours pour l’Etat un « enjeu majeur pour l’amélioration de l’accessibilité et de la compétitivité de la Bretagne ». Et à ce titre « il continuera de soutenir le projet ». Espérons…
Dans le même temps, le gouvernement vient de geler les dotations qu’il accorde aux régions pour les trois prochaines année sur le service public ferroviaire. Cela entraîne dès lors, un risque d’une annulation des conventions passées avec la SNCF portant sur des commandes de matériels roulants, faute de moyens. Et c’est pour protester que l’association des régions de France vient d’annoncer son intention de déposer un recours auprès du Conseil d’Etat contre ce gel.
Confrontées à la hausse des péages avec la libéralisation du rail, à la perte de toute recette dynamique (taxe professionnelle et taxe foncière) avec la réforme des collectivités, les régions n’ont pas à compenser ce nouveau recul de l’Etat.
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Je me répète.
Je veux bien lacher 8 ou 10 mn sur le trajet Paris Brest. J’ai déjà fait des ARs dans la « journée » (partant le matin tôt de nuit et revenant fort tard de nuit).
Il est impossible de faire cet AR dans la journée pour Nantes. Nantes n’est pas en Bretagne!!!!! Paris est plus proche.
Après 18h quelque chose, je ne peux rejoindre Brest de Vannes qu’en passant par Rennes.
Il est temps que les élus et les bretons se remuent le … train. Hi. Hi. Hi.
Je me trompe quelque part??????