Le film « la conquête » que je viens d’aller voir au Bretagne n’est pas une réflexion politique dans la mesure où le réalisateur a choisi comme fil conducteur les relations entre Nicolas Sarkozy et son épouse d’alors Cécilia.
Dès lors, ce n’est pas un brulot ou un panégyrique puisque le film ne défend aucun point de vue. Evidemment, le spectateur ne peut s’empêcher de s’interroger : les scènes se sont-elles vraiment déroulées comme cela ?
Le scénariste Patrick Rotman se targue de s’être beaucoup documenté avant de se lancer dans l’écriture. Et dès lors, on comprend que le Chef de l’Etat ait indiqué qu’il ne verrait pas le film. Il ne lui serait sans doute pas agréable, par exemple, de revoir la scène où il lutte physiquement avec Cécilia qui a décidé de quitter le foyer conjugal.
On reste donc un peu sur sa faim. Nicolas Sarkozy connaît-il vraiment que deux humeurs – l’abattement, la dépression, ou la survolte méprisante, l’insulte colérique ? Une campagne présidentielle se résume-t-elle à une succession de promesses non tenues et d’actions opportunistes pour glaner une à une les voix ?
Un morceau savoureux : le moment où Dominique de Villepin, poursuivi par une horde de paparazzi fonce dans l’onde de La Baule, attendu par son rival, tout enrhumé et tout ratatiné derrière ses lunettes noire ! Une illustration des relations inénarrables entre les politiques et les médias.
Si Mme Aubry accède à la présidence , vente de mon assurance vie qui finance la dette et conversion en or physique. Mr Hollande est plus responsable.
1400 milliards , il faudrait 1 % des personnes mais qui possèdent 5 % le fasse = appel au marché et les taux auxquels la France emprunte vont monter.
En matière de dépenses, il faudrait des sacrés économies dans les collectivités locales : mairie trop nombreuses ( 36 000 et 850 000 élus) , département etc… Grèce va passer de 800 à 300 , 8 000 en Espagne.
En France, dépenses dépenses… Défiscaliser devient un devoir ou ne plus favoriser l’assurance vie qui couvre les dettes