Police – création et mise en place de brigades spécialisées de terrain (BST)

Publié dans Questions écrites | 2 commentaires
QE 103718

Date de la question : 29/03/2011
Date de réponse : 12/07/2011

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2 réponses à Police – création et mise en place de brigades spécialisées de terrain (BST)

  1. gouriou sylviane dit :

    jean jacques j ignore si tu te souviens de ta voisine de la rue de l yser il y a deja de nombreuses annees que je suis ta carriere bravo saches que je suis de tout coeur avec toi donnes moi de tes nouvelles si tu peux je t ai laisse mon adresse mail j habite a toulon depuis tres longtemps sois assure de mon amitie indeflectible sylviane

  2. PAUCHON EDMOND dit :

    HISTOIRE VRAIE

    eh bien voilà…. je suis une femme de 55 ans, deux brigades de gendarmes (les brigades d’interventions musclées qui sont en poste non sédentaires) soit 6 gendarmes sont arrivés dans ma maison vendredi 9 septembre 2011, à la suite d’une plainte d’un « locataire squatter » – qui ne voulait plus payer son loyer ni partir parce qu’en face de lui il avait une « vieille femme » moi en l’occurrence.
    Je les avait mis en demeure de libérer le logement, en toute légalité car ils saccageaient mon logement : meublé, garni, charge comprises et louée en « convention précaire d’occupation de logement », donc pas de bail 3/6/9.
    Ils avaient récupéré une partie de leurs affaires, mais étaient venus pour ouvrir mon logement avec une perceuse, sans autre forme de procès.
    Il faut quand même dire que les squatters s’étaient permis de sortir tout le mobilier de ma maison sur la terrasse (literie, mobilier d’intérieur, linge etc….) et que nous étions en alerte cyclonique – donc il allait y avoir une pluie battante et des vents à 90 km/h, ce qui aurait précipité tout mon mobilier à la mer – ma maison étant située au bord de mer…… voyant cela, j’avais tout réintégré dans la maison et procéder aux fermetures obligatoires en cas de cyclone.
    Devant mon refus d’une telle incursion…. ils n’ont rien trouvé de que de me tabasser dans la rue, devant témoin (2 personnes). Des voisins ont alertés les gendarmes car ils ont bien vu la situation…. je me faisait frapper et menacer par deux « mecs » dont l’un armé d’un tournevis. Les gendarmes sont donc arrivés, je leur ai demandé quelle autorisation ils avaient de laisser un particulier détériorer la serrure de mon bien immobilier – aucune serrurier n’était présent, ni aucune autorisation de la loi n’avait été produite.
    Les deux brigades d’intervention, ont permis aux « pseudo locataires armés » d’entrer dans ma propriété privée, en fracassant la serrure avec une perceuse, lorsque j’ai demandé à surveiller les faits, l’un des gendarmes m’a bousculée, il mesurait au moins 1m 90, pour certainement 120 kgs, il m’a tutoyée, me demandant si « j’en voulais une » en me présentant sa grosse main gantée, ma fait tomber à terre, et lorsque je lui ai demandé son nom, m’a dit s’appeler MONSIEUR GENDARME, ses confrères MONSIEUR X, XXX, etc…. Super rassurant de savoir que lorsque ces « assermentés » ont envie de se défouler sur plus petit qu’eux…. une femme, un ROM, un beur, un noir,….bref une population « non protégée » (comme par exemple l’auteur d’emplois fictifs qui lui ne sera pas inquiété, pourtant il a tout de même utilisé l’argent du peuple pour servir ses propres intérêts, mais la France est tellement blasée qu’elle ne s’insurge plus devant aucun abus), donc disais-je, je me suis fait « casser » mon bien immobilier, ai failli me faire « casser la gueule » et menacée d’être « embarquée »…. Fort heureusement l’ « énervé » de service s’est fait rappeler à l’ordre par son chef….et s’est fait mettre au rancard, il en a profité pous s’attaquer à une amie présente et témoins des faits.
    Bientôt 55 ans, 2 AVC à mon actif du fait de mon âge et de mes soucis, j’aurais pu faire une syncope et un troisième …. et bonjour la bavure, il y avait deux témoins auprès de moi.
    Cela donc s’est produit le vendredi 9 septembre 2011… Le dimanche 11 septembre, revoici une brigade de gendarmerie devant ma porte. Je tente de calmer les battements de mon coeur, je n’avais pas envie encore de me faire menacer et fracasser mes biens immobiliers. Mais pas du tout, les deux gendarmes qui étaient devant moi -eux- ont été d’une courtoisie totale, m’ont décliné leur identité, m’ont affirmé qu’ils n’étaient pas des « intérimaires » selon leur dire, ont écouté ce que j’avais à dire, puis ont ensuite constaté que dans la nuit du samedi au dimanche, la maison qui avait déjà été « fracassée » avait également été visité, une porte avait été forcée….. bref.
    D’après Jean-Jacques Urvoas : « Les policiers et les gendarmes sont là avant tout pour la protection des citoyens et non celle de l’État, encore moins des intérêts personnels d’un ministre ou d’un président. Tel est le principe de base qui doit être rétabli pour M. Urvoas, et doit permettre de dissiper le malaise actuellement grandissant d’une part entre la police et la population, d’autre part au sein même des forces de l’ordre. Il doit permettre ensuite de clarifier le fonctionnement institutionnel de la police nationale où règnent actuellement trop souvent l’esprit de chapelle, une multitude de corps, de services, d’unités et par ailleurs de syndicats, toutes choses qui diluent la politique de sécurité et la chaîne de commandement. On ne peut qu’approuver le principe, même si l’on aurait aimé en savoir plus sur le rôle des syndicats. Comme critique générale de la situation actuelle, on s’attendait aussi à un développement sur l’autorité comme découlant de la légitimité et non de la menace, ainsi qu’à un passage sur la police de proximité.
    Je suis aujourd’hui horriblement choquée, je ne donnerai pas suite à cette affaire qui m’a des plus affectée…. Et je garderai pour moi ce que j’en pense réellement… de peur de représailles.
    Et je signe : Andrée-Juliette Pauchon-Edmond

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