Lors du conseil national du mois de juillet, avec 25 militants du PS du Finistère nous avions déposé une « contribution nationale thématique » pour engager le débat dans le département.
Nous avons choisi ce moyen puisque le secrétariat fédéral avait décidé dans une réunion du 4 juillet que dans le Finistère, d’attendre le 31 août pour enregistrer des textes à vocation uniquement départementale. Il avait d’ailleurs précisé dans un courriel adressé aux membres du bureau fédéral que les contributions ne pourraient dépasser 6 000 signes (espaces compris) et ce, afin de permettre leur diffusion à tous les adhérents.
En dépit de la période, notre texte initial a circulé et vendredi nous avons déposé un nouveau texte soutenu par cinq fois plus de signataires puisque nous sommes maintenant plus de 120 adhérents socialistes.
Soucieux de respecter scrupuleusement à la fois les délais et le volume, nous avons concentré notre réflexion sur des propositions d’amélioration du fonctionnement de notre fédération, lui permettant ainsi de continuer à innover dans la transparence et dans la démocratie militante.
Vous pouvez en prendre connaissance en la téléchargeant ici ou sur le petit espace que nous avons ouverts sur le net, un blog pour proposer et agiter des idées. Vous pourrez notamment découvrir les premiers signataires. Et vous pouvez surtout nous rejoindre en nous adressant votre adresse.
J’ai d’ailleurs vu que notre initiative avait favorisé l’éclosion d’autres textes puisque Michel Loussouarn notamment vient de publier sur son blog, une contribution personnelle. Je sais aussi que d’autres textes ont été préparés venant notamment d’élus importants de notre département.
Nous versons donc ces quelques idées toutes simples à nos futurs débats. Elles ne prétendent pas réinventer notre logiciel, ni fournir une explication à toutes les questions dont notre congrès débattra. Elles sont concrètes et, surtout, leur réalisation ne dépend que de la décision des adhérents finistériens. C’est là l’essentiel car comme disait un philosophe « quand je peux agir sur le cours des choses, j’agis. Quand je ne peux pas, je regarde« .
Abonnez-vous au flux RSS
