Ainsi que je l’avais indiqué récemment à Ouest France et au Télégramme, la direction de la protection judiciaire de la jeunesse a pris la décision d’abandonner son projet de construction d’un centre éducatif fermé à Pluguffan.
Je l’avais confirmé lors de la réunion tenue dans cette commune, le 14 octobre dernier, où je présentais mon bilan annuel de mandat.
J’ai noté depuis que l’Association des riverains continuaient à émettre des doutes sur l’information et attendait la confirmation officielle. On ne peut qu’être surpris par une telle défiance si l’on veut bien admettre que depuis le début de ce projet j’ai toujours joué cartes sur table avec mes interlocuteurs.
Je publie donc ce jour les lettres de la directrice de la PJJ Madame Danièle Mouazan, adressées à Dominique Closier, maire de Pluguffan et à l’Association des riverains.
Personnellement, j’ai évidemment pris acte de cet abandon. Je tiens aussi à dire que si le gouvernement avait persévéré, j’aurais soutenu cette réalisation car je souhaite que l’engagement du président de la République de doubler l’actuelle capacité de ces établissements. Je ne fais pas partie de ceux qui estiment qu’un projet est bon uniquement quand il est aisé à concrétiser.